Thomas Cussinet - Photographe
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La petite histoire de mon aventure numérique

 
Avant l'an 2000 - l'argentique et le "scanner"
Ohhh ... quelle belle époque ... quand on veut archiver ses photos sur un ordinateur ...

Développements, tirages, et numérisations au scanner dont je préfère oublier le coût ! Et tout cela pour quoi ? Tous les CD réalisés sont ... plantés ! Complètement illisibles ! Heureusement, les négatifs demeurent. Toutefois, ils restent moins pratiques à visualiser que quelques fichiers.

Cela dit, investir dans un matériel reflex, hors coût des optiques, était moins coûteux qu'à la date où j'écris ces quelques lignes. Et la qualité, liée à la péllicule utilisée, était au rendez-vous.

L'ère glorieuse du Minolta 800 si, du Pentax K100 "full manuel" ...
L'an 2000 - l'âge de pierre du numérique
Dès l'année 2000, je décide d'utiliser un boîtier photo numérique. A cette époque, les moyens financiers nécessaires pour assumer cette mutation étaient très élevés. Et les miens, de moyens, n'étaient pas suffisant pour dépasser le 2,1 millions de pixels. Bien qu'une optique Zeiss équipait ce matériel (SONY DSC-F505), comment réussir à égaler la qualité du résultat d'une pellicule argentique était une question de tous les jours.

Quelques exemples :
L'an 2003 - la pierre devient rocher
Le matériel numérique progresse. Mais, mes finances stagnent ... Malgré cela, je réussis à investir dans l'achat d'un bridge 5,7 millions de pixels : un Nikon Coolpix 5700. A l'époque, il ne l'offrait pas en cadeau ...
Sans qu'il me donne entière satisfaction, je l'exploite.

Pour ne parler que de ces deux points, l'autofocus était lent, l'optique, trop sombre. L'ouverture de cette dernière est si faible que l'autofocus devient inopérant lorsque la lumière est faible. Le dompter est un art. Quant à passer le focus en manuel, c'est un peu comparable à "défaire les noeuds qui sont passés à la machine à laver". C'est plus long ! Il y a un risque d'y laisser sa patience. Et là, d'un coup, on se croit aux JO, épreuve du marteau. Fin du matériel...

Mais je l'exploite. Et vous trouverez quelques exemples dans les séries :


Dans la période 2000-2003, je croise certains amateurs équipés de D100, d'autres, plus pro et/ou plus fortunés, avec des 1D, D1. Bahh ... le jour viendra où ... Et sont sortis les D70, D2H, D2x, 300D, 350D, 1DMark, 1Dmark 2. J'arrête là l'énumération. Tel un enfant devant une vitrine de jouets, je reste à les observer, à lire essais, reportages mais ... "on touche avec les yeux".
L'an 2006 - quand le rocher devient montagne (sans être non plus une chaîne montagneuse)
Cette fois, c'est parti ! J'investis dans un reflex numérique et quelques optiques de bonne qualité. Les résultats ne se font pas attendre. Et des photos impossibles à réaliser avec mon matériel précédent, naissent.

Photographier une pièce de théâtre, un spectacle, devient une réalité, voilà bien l'aboutissement de ma passion.

Sans me satisfaire pleinement, des photos de nuit lors des 24h du Mans voitures attestent des premiers résultats d'une utilisation qui dépasse bien le "tout automatique". 

J'apprends, je ré-apprends la photographie.

Pour ne parler que de ces exemples :
  • Lisbonne : utilisation quasi systématique du mode auto et enregistrement en JPEG, quelle erreur ... mais je suis parti avec un boitier acheté le matin même, faute de disponibilité;
  • Sicile : passage en mode manuel fréquemment, mais toujours ces satanés enregistrements en mode JPEG ;
  • Quelques spectacles : toutes les photos sont réalisées en mode RAW, appareil en manuel, réglages permanents de la mesure des lumières, choix des angles, des cadrages ;
  • 24h édition 2006 : mode manuel quasi-systématiquement. Choix des modes d'autofocus et de mesures des lumières, enregistrement unique en RAW. Ouf ... enfin ...
  • Salon de l'automobile 2006 - série effectuée en 2006 à une heure d'affluence, cela peut paraître surprenant, et reprise techniquement en 2007 d'après les fichiers RAW.

Certes, le mode RAW est consommateur de temps puisqu'il induit un post traitement. Mais le résultat peut être si différent que consacrer le temps nécessaire à la "dé-rawtisation" n'est pas obligatoirement un calvaire.
L'an 2007 et 2008 - quand la montagne s'habille de son vêtement de printemps (mais sans égaler la beauté d'une chaîne montagneuse)

Au fil du temps, les portraits, qu'ils soient issus d'une pièce de théâtre, d'une répétition ou pris sur le vif lors de voyages, occupent de plus en plus de place. Les portraits saisis sur le vif, les scènes illustrant la vie quels que soient les pays, voilà un axe fort de mon travail. Complémentairement, réussir quelques photos d'architecture pour mettre en valeur une émotion n'est pas pour me déplaire. Bien au contraire.

En vous baladant sur le site, vous en trouverez quelques exemples. En voici une toute petite sélection :


Bien évidement, toutes les photos réalisées ne sont pas sur ce site. D'autres, personnelles ou non, restent à usage privé.
 
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Mise à jour : 06/09/2015 - Tous droits réservés - Thomas Cussinet